FAQ IKIGAI

1. Quand est-ce le bon moment pour entreprendre sa vie (le programme) ?

Le bon moment, c’est souvent quand tu as encore une certaine stabilité et une marge de manœuvre.

Idéalement, c’est avant d’être dans l’urgence financière ou émotionnelle. Tant que tu es encore en poste ou au début d’une transition, tu peux réfléchir sereinement à ton projet sans pression immédiate.

En somme, le bon moment, c’est à la fois quand tu sens que tu es suffisamment stable alimentairement parlant et suffisamment motivé (pour explorer en dehors de ta cage dorée par exemple) pour te mettre enfin mouvement!

2. Si je suis en arrêt après un burn-out, est-ce le bon moment pour travailler avec toi?

Tout dépend de ton état actuel.

Si tu es encore très fatigué(e) et que tu vis encore des nuits diurnes et que tu as beaucoup de mal à retrouver une concentration, je t’invite à d’abord à laisser passer un temps peu de temps.

Ce que tu peux vraiment entreprendre dans un premier temps, c’est de mieux comprendre pourquoi c’est arrivé et comment faire pour que tu ne le revives plus jamais.

J’ai créé un stage post BURN OUT au bord de l’eau pour que tous ceux qui ont besoin d’une parenthèse puissent se ressourcer, comprendre leur fonctionnement, et se faire enfin passer en priorité pour repartir, rebondir et entreprendre leur vie tel(le)s qu’il sont.

C’est à mon sens une nécessité pour éviter le schéma classique qui consiste à surfer toute sa vie avec l’épuisement professionnel… et aborder sa transition professionnelle avec plus de clarté et d’énergie.

3. J’ai très peur de quitter mon CDI bien payé, même si je sais que je ne peux pas continuer comme ça. Est-ce qu’on peut en parler concrètement?

Absolument. Ce que tu vis est ce qu’on appelle le syndrome de la "cage dorée" (ou de la prison dorée).

Il est normal que tu aies peur et on ne travaille pas bien quand on a peur, d’échouer, de prendre la mauvaise décision, de regretter son confort, etc…

C’est pourquoi j’ai conçu un accompagnement spécifique pour t’accompagner dans la sécurisation de ta transition.

Mon mantra ? Partir BIEN pour BIEN rebondir.

Cela implique de minimiser les risques, en toute hypothèse de les anticiper pour construire progressivement un projet qui te ressemble sans te mettre en danger avec des conseils et des outils concrets (juridiques, émotionnels, stratégiques).

Pas question de faire du parachutisme, j’ai le vertige: on avance ensemble, étape par étape.

4. Je doute de pouvoir réussir ce programme parce que j’ai un profil atypique, je m’ennuie vite, je suis hypersensible, je pense trop. Est-ce que c’est fait pour moi ?

Oui, ce programme est justement pensé pour des profils comme le tien.

Tu n’as pas besoin de changer qui tu es : tu as le devoir de comprendre comment tu fonctionnes et de trouver un espace dans lequel ta personne est à la fois comprise et respectée.

Et je peux t’y aider.

5. Et si je suis plutôt en bore-out ? J’ai trop peu de travail, je m’ennuie, je doute de ma valeur. Est-ce que tu peux m’accompagner ?

Oui. Le bore-out est une forme d’épuisement insidieuse mais tout aussi impactante. Perdre le sens, c’est aussi perdre l’estime de soi.

Avant de partir dans l’aventure, tu peux avoir besoin d’un petit coaching pour t’aider à te reconnecter à tes forces, à retrouver un projet porteur de sens (LE TIEN!) et l’élan dont tu as besoin pour le concrétiser.

6. Je sais que je veux me sentir utile et contribuer au monde à mon échelle mais j’hésite encore sur plain de projets. Est-ce que je peux commencer quand même ?

Oui. La première partie du programme est justement là pour clarifier ce que tu veux profondément. Tu n’as pas besoin d’avoir un projet clair pour commencer. Juste l’envie d’explorer sérieusement.

7. Et si je ne me sens pas prêt(e) à enchaîner tout de suite avec la phase entrepreneuriale ?

Tu peux suivre la première phase, prendre le temps de murir ton projet, puis revenir pour la phase entrepreneuriale quand tu es prêt(e).

Je te proposerai d’intégrer le bon petit groupe quand ce sera le non timing pour toi!

8. Je vis à l’étranger. Est-ce que je peux quand même participer ?

Oui. Tout peut se faire à distance pour la première partie. Et je peux ouvrir un groupe de travail adapté aux fuseaux horaires pour la suite si besoin!

9. Je suis à Paris, puis-je faire la première partie à distance et venir en présentiel pour la suite ?

Oui, c’est même assez courant. Certaines personnes choisissent aussi de venir à Andernos juste pour une séance (au début ou à la fin). C’est toujours possible si tu en ressens l’élan.

10. Est-ce que tu proposes un accompagnement spécifique pour les gens qui ont déjà un projet mais qui sentent qu’ils se sont un peu désalignés ?

Oui. Si tu es déjà lancé(e) mais que quelque chose cloche, on peut retravailler ensemble ton ikigai pour réaligner ton projet.

C’est souvent très libérateur et ça redonne une énergie neuve pour re décoller cette fois beaucoup mieux aligné avec son projet.

11. J’ai trop d’idées, je m’éparpille facilement. Est-ce que ce programme va m’aider à rester focus ?

Oui. Justement, dans la première phase, on pose un cadre qui t’aide à canaliser ton énergie et à prioriser. Tu ne seras pas seul(e), et je suis là pour t’aider à structurer tout ça de manière concrète.

12. Et si je change de cap en cours de route ?

C’est normal ! Ce programme est vivant : il est fait pour t’aider à ajuster ton projet au fil de ton cheminement. Rien n’est figé, l’important c’est que ce soit aligné avec toi.

13. Comment puis-je financer ce programme ?

Plusieurs options :

  • Financement personnel (comme un investissement pour ta vie).

  • CPF si on passe par un bilan de compétences.

  • Financement possible par ton entreprise (je suis organisme de formation certifié).

14. Est-ce que je serai soutenu(e) par d’autres personnes ?

Oui. Tu es accompagné(e) par moi, mais aussi entouré(e) d’un groupe bienveillant et engagé.

Il y a aussi les membres de la "Tribu Ikigai", des anciens qui ont entrepris leur vies avant toi et qui sont comme des premiers de cordée qui peuvent partager leurs expériences ou simplement de te donner quelques conseils. L’idée, c’est de créer une véritable chaîne de solidarité au sein de cette communauté, surtout dans un monde du travail parfois complexe, souvent difficile. Donc oui, tu pourras bénéficier de cette entraide si besoin.